Établissement d'un rapport faussé de psychiatrie

Je suis toujours en danger de mort dans cette affaire criminelle d'État.
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Par lionel, 20 juin, 2020

(Cet article vient détailler des faits expliqués sur la page relative à mon arrestation en septembre 2019.)

 

À l'occasion de ma garde à vue, une policière du Bureau des affaires spéciales (BAS) de Marseille va, avec un psychiatre, fausser les raisons de mon arrestation pour m'envoyer à terme en hôpital psychiatrique (pour l'instant, j'ai réussi à éviter ces pièges).

Le résultat est incroyable, je le résume en un tableau avant de détailler :

Début du rapport du psychiatre
basé sur mon entretien

Fin du rapport du psychiatre
basé sur les documents fournis par la police

Le propos qu'il m'a été donné d'entendre a été clair, cohérent.

sans agressivité, ni violence

il sait se montrer courtois

Une peine socio-judiciaire comprenant une injonction de soins est indiquée

[…] peut entraîner un ou des passages à l'acte, rendant alors le sujet dangereux pour lui-même ou pour les autres.

[…] le signalement au secteur psychiatrique de référence ou au service des malades mentaux de l'ARS serait indiqué.

 

Intervention du psychiatre

Le 18 septembre alors que je suis placé en garde à vue, on me force à voir un psychiatre. Ça faisait 5 ans, depuis 2014, que procureurs et policiers essayaient de me neutraliser ainsi. Prisonnier, je n'ai pas d'autre choix. Je parle le strict minimum avec le psychiatre, en restant poli et non agressif.

Ce psychiatre est le docteur Gilbert Fabre. Il ne retire aucune information susceptible de trouver chez moi une prétendue folie :

Il m'a été permis de procéder à un examen psychiatrique de monsieur Aubert Lionel […] Le propos qu'il m'a été donné d'entendre a été clair, cohérent. La présentation est assez moyenne. Il dit habiter Istres. Puis refuse de répondre, sans agressivité, ni violence, à toute autre question […]. En raccompagnant monsieur Aubert, il sait se montrer courtois.

Extrait du compte rendu du psychiatre réalisé lors de ma garde à vue.

Nous voyons bien qu'il n'y a aucun signe de violence de ma part, aucune menace, etc. Il n'y a pas non plus, de signe de maladie mentale ou psychique. Rien qui soit susceptible de me faire interner !

 

Le psychiatre et la policière vont fausser les faits

Alors ce que vont faire ensemble le psychiatre et la policière marseillaise, pour quand même arriver à m'envoyer en hôpital psychiatrique ?

Ils vont monter un faux dossier, dans lequel la dernière policière va faire croire que je m'acharne contre sa collègue, la policière Viciana (alors que j'insiste, en réalité, il n'en est rien !)

 

Rappel : que s'était-il dit dans la matinée au sujet de mon affaire ?

J'ai été arrêté par des policiers marseillais, placé en garde à vue et interrogé le matin du 18 septembre 2019 parce qu'une policière (Céline Viciana, la même qui avait tenté par deux fois de m'envoyer chez un psychiatre en 2014) venait porter plainte contre moi avec l'appui du parquet d'Aix : elle s'était mise en interruption de travail pendant trois jours au prétexte d'une dépression…

Le matin, une policière marseillaise, Justine Verani m'interroge et me demande ce que j'ai contre Céline Viciana : je réponds que je n'ai rien contre elle. (Si vous n'avez pas lu toute mon histoire, je précise que ce sont des procureurs d'Aix-en-Provence qui s'acharnent sur moi, et que ces différents policiers ne sont que de simples exécutants.)

Lors de mes premières vidéos, je masquais même le nom de cette policière, comme je l'ai rappelé lors de mon audition :

Nom de Viciana masqué

Ensuite, quand on m'interroge sur les journées d'ITT de la policière, je lui souhaite un bon rétablissement (aujourd'hui avec le recul, je sais que ses jours d'ITT étaient exagérés, c'est inventé, mais le jour de ma garde à vue, les policiers m'étaient tombés dessus par surprise et je ne savais pas ce qui m'arrivait).

Bon rétablissement

Enfin, quand on on demande les raisons de mes publications, j'explique que le fait de les publier me permet de me protéger : si je devais être arrêté (prison ou asile), c'est grâce à ces publications que mes proches pourront me faire sortir de là.

Me protéger

[Lien vers le PDF, 12 pages, relatant cette audition illégale]

 

Le psychiatre et la policière vont fausser les faits

Trois à quatre heures après mon entretien et mes déclarations reproduites ci-dessus, la policière marseillaise, Justine Vérani (je précise le nom pour suivre plus facilement les faits), va se mettre « de mèche » avec le psychiatre pour fausser les faits et me faire interner, malgré mon innocence.

Après m'être rapproché de l'officier de police requérant et avoir pris connaissance des faits le mettant en cause, il m'est permis l'hypothèse suivante

Le psychiatre commence par le mot d'« hypothèse » mais il va très vite passer à des affirmations à partir de ce que lui racontera la policière Verani, sans aucune forme de prudence de sa part, va faire croire que je m'en prends à cette première policière, Viciana (alors que ce n'est pas le cas), celle qui m'a d'abord convoqué en 2014 chez un psychiatre, puis s'est fait mettre en ITT et a porté plainte contre moi. C'est un coup monté :

le fait qu'une personne [la policière Viciana] soit devenue la cible exclusive des propos ou écrits [etc – note : tout cela est faux]

C'est un mensonge : la policière marseillaise Justine Verani transmet au psychiatre de faux éléments, pour obtenir une fausse ordonnance de soins à mon encontre (en réalité, j'insiste, ils visent tous les deux une hospitalisation de force).

On aboutit à un écrit délirant du psychiatre qui va demander à mon encontre une injonction de soins couplée à un signalement auprès de l'hôpital psychiatrique de Martigues :

Fausses déclarations du psychiatre, annotées

 

Je fais clairement l'objet d'attaques des policiers et psychiatres qui n'hésitent pas à établir conjointement de fausses attestations en vue de me faire interner.

 

Comprendre la suite

Lorsqu'on tend un piège à quelqu'un, ce piège est déjà posé en intégralité. Il est absurde de croire qu'après avoir faussé leurs documents prétendant montrer une dangerosité chez moi, et après avoir écrit « on transmet le document auprès du service des malades mentaux de l'ARS » ceux-ci n'ont rien en leur possession. Bien évidemment qu'ils ont d'autres faux documents en vue de m'« achever » !

Ces autres faux documents ont été établis par ma propre sœur Magali Mathias dans le cadre d'une tentative de spoliation et de mise sous tutelle de ma grand-mère, que je venais de protéger, contre un avocat véreux et le barreau d'Aix-en-Provence (le « barreau », c'est un peu comme l'Ordre des avocats). Ce même barreau venait de débouter ma grand-mère le 13 septembre 2019, et me voilà, 5 jours après, placé en garde à vue, avec l'histoire que nous venons de voir…

 

Pour aller plus loin…