Je suis toujours en danger de mort dans cette affaire criminelle d'État. |
Bonjour,
Je m'appelle Lionel Aubert, je clame mon innocence dans une affaire criminelle où des policiers, des procureurs et des juges ont établi des faux documents pour me faire condamner.
J'insiste, je suis innocent. Et je fournis plein de preuves de mon innocence sur ce présent site web.
J'ai dû fuir la France et me réfugier à l'étranger, le temps que mon innocence soit reconnue.
J'espère bientôt pouvoir rentrer. Le problème est que des gens au sein de l'État magouillent pour m'envoyer en prison ou en asile (car à défaut d'envoyer un innocent en prison, ils essaient alors de m'envoyer en HP ; c'est facile pour eux, ils déclarent les gens fous et il n'y a plus besoin de procès…).
« On n'envoie pas les gens dans des prisons ou des asiles sans raison » allez-vous me dire... Ben malheureusement si. Lisez ces quelques pages et faites-vous votre idée.
Juste avant, je reviens sur cette précision importante :
J'ai fui la France et je me suis réfugié à l'étranger
De là, j'ai introduit un recours auprès de la Cour européenne des droits de l'homme, vous savez, cette institution européenne qui de temps en temps condamne certains pays, dont la France.
S'il vous plaît, quand vous lisez ces lignes, je sais que naturellement, la plupart d'entre vous se mettent à douter, à cause de ce qu'on appelle l'« argument d'autorité », le déni ou encore la peur, mais s'il vous plaît, laissez vos craintes au vestiaire et demandez-vous « et si Lionel Aubert avait raison ? »
Les faux documents
Je mets en cause des juges et des policiers d'avoir fabriqué de fausses mentions dans des documents pour m'envoyer en asile. Une mention volontairement fausse d'un fait qui n'a jamais existé dans un vrai documents tel qu'un jugement ou une ordonnance constitue ce qu'on appelle un « faux intellectuel » et tombe sous le coup de l'article 441-4 du Code pénal.
Je détaillais ces faux sur mon ancien site lionelaubert.fr que la police et les procureurs sont en train, en ce moment, de faire interdire (vous pouvez le visiter s'il n'a pas été encore supprimé).
Parmi ce montage, deux juges distinct, l'un administratif, l'autre civil, ont chacun inventé, l'un à Paris que j'aurai fait l'objet d'une expertise psychiatrique (2016) et l'autre dans les Bouches-du-Rhône que j'aurais été hospitalisé de force dans une structure psychiatrique (2018).
Ces juges s'appuient sur des policiers qui ont établi de 2012 à 2014, sur ordre du parquet d'Aix-en-Provence, des faux procès verbaux d'enquête.
Pour ma défense, et surtout pour me préserver d'un internement arbitraire, j'ai publié ces éléments sur des pages Web et sur des réseaux sociaux (entre autres, page Facebook et vidéos sur YouTube).
Je cite le nom de procureur, procureur-adjoint et policiers, documents publiés à l'appui.
Ces gens-là n'ayant pas aimé, une policière et une subalterne du procureur que je mettais en cause ont alors porté plainte contre moi, pour me mettre en garde à vue et m'inculper. J'ai dénoncé ces faits (que ce puisse être les personnes que je mets en cause qui dirigent une enquête contre moi) auprès du Défenseur des droits (les services de Jacques Toubon) et de la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). En vain.
J'ai pris la décision de fuir la France et l'Union européenne (à cause des mandats d'arrêt européens) une semaine avant le procès que je qualifie de truqué.
Avant ma fuite, j'ai fait imprimer un livre (500 pages, téléchargeable gratuitement en PDF) où je raconte mon histoire : Thriller autobiographique. Il a été écrit entre 2015 et 2016.
Le plus simple et le plus rapide reste quand même de lire les 9 pages web mentionnées dans le tableau ci-dessus.
Dans mon affaire, je ne mets pas en cause les institutions (par définition elles sont abstraites) mais les hommes et les femmes qui les manipulent ou qui les détournent pour des intérêts particuliers.
Depuis février 2020, je suis en exil à l'étranger.
Lecture des pages sur ce site
Ce qui est appelé « niveau 1 » correspond à une lecture des faits, avec assez peu d'interprétation. Les 9 pages sont assez vites lues. Il est préférable de commencer par connaître les faits avant de rechercher à les interpréter.
Le « niveau 2 » correspond à un mécanisme d'État, celui d'une cellule occulte, la DACG, cachée au sein du ministère de la Justice. Ce sont des affaires criminelles d'État qui y sont fabriquées, avec pour finalité l'envoi en prison ou hôpitaux psychiatriques, avec des documents faussés, des personnes sur lesquelles cette officine s'abat. Un appui principal de cette officine est le recours à des réseaux, essentiellement francs-maçons, mais aussi à de la corruption de juges et procureurs. Plus de 50 000 personnes sont ciblées en France par cette officine, sur plusieurs années. Le chiffre semble énorme mais il représente moins d'une personne sur 1 000. Nous sommes des individus lambda, des gouttes d'eau.
Le « niveau 3 » est celui de personnes à l'origine en dehors de l'affaire initiale, mais qui s'y rajoutent en apportant leur soutien en vue de me nuire. Ce sont essentiellement deux personnes, le maire d'Istres Bernardini en 2014 pour une affaire immobilière où je le gênais et ma sœur en 2019 dans une affaire familiale de donation de ma grand-mère (pour de bêtes histoires d'argent, elle a produit de fausses déclarations pour tenter de me faire interner).
S'ensuit une présentation de plusieurs intervenants (liste non-exhaustive).
Les pages relatives au délit de « non-assistance » viennent expliquer que, dans le cadre de ces affaires, toute personne qui en a connaissance est obligée d'apporter son aide.
Enfin, les issues à cette affaire existent : je n'entends pas rester indéfiniment en exil simplement parce que quelques procureurs, policiers ou juges auront créé des faux documents. Il y aura plusieurs manières de me faire rentrer en France, et tant pis pour les faussaires. Certaines personnes peuvent penser que ça pourrait se terminer « en que de poisson », mais non, je dois rentrer en France avec des garanties concernant ma sécurité. Donc cette affaire ne sera pas enterrée.