Je suis toujours en danger de mort dans cette affaire criminelle d'État. |
Ce piège qui va m'être tendu l'a été à de nombreuses personnes bien avant moi.
Je suis toujours en danger de mort dans cette affaire criminelle d'État. |
Ce piège qui va m'être tendu l'a été à de nombreuses personnes bien avant moi.
Mme Rodia travaille pour l'association APERS, une association d'aide aux victimes,
Justine Vérani est une policière marseillaise, brigadière-cheffe d'un « bureau des affaires spé
Sylvie Bovo est une policière du commissariat d'Istres qui a bêtement accepté, sur instructions
Céline Viciana est la policière qui s'est fait mettre 3 jours en arrêt maladie, et après ses jours d'ITT, elle a porté plainte contre moi, m'a fait arrêter et placer en garde à vue, puis sous contrôle judiciaire, pour au final arriver dans quelques mois à me demander des dommages-intérêts.
Bernardini s'est greffé dans l'affaire de ma porte défoncée en 2014 et ma convocation devant le psychiatre en fin de la même année. J'insiste pour dire que, pour une fois, il n'est pas à l'origine de la fracturation de mon domicile, qui relève d'une affaire de l'État, et non pas d'une affaire locale.
(Cet article vient détailler des faits expliqués sur la page relative à mon arrestation en septembre 2019.)
À l'occasion de ma garde à vue, une policière du Bureau des affaires spéciales (BAS) de Marseille va, avec un psychiatre, fausser les raisons de mon arrestation pour m'envoyer à terme en hôpital psychiatrique (pour l'instant, j'ai réussi à éviter ces pièges).
Le résultat est incroyable, je le résume en un tableau avant de détailler :