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Le procureur de la République, Achille Kiriakidès

Je suis toujours en danger de mort dans cette affaire criminelle d'État.
J'offre une récompense de 100 000 euros à la personne ou aux personnes qui me permettront de m'en sortir.
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Par lionel, 17 novembre, 2020

Achille Kiriakidès est procureur de la République auprès du tribunal d'Aix-en-Provence depuis juillet 2016 (auparavant il était à Perpignan). Il n'a commencé à intervenir sur mon affaire qu'une fois la tentative de mon internement arbitraire par le procureur adjoint Olivier Poulet avait échoué (2014).

C'est lui également qui, en complicité avec le bâtonnier Jean-Pierre Rayne va tenter de me faire interner, toujours sur la base de faux documents établis par des policiers entre 2019 et 2020. Lors de la seconde tentative, il n'apparaîtra pas directement sur le dossier mais en sous-main derrière la substitut Sophie Bot (elle aussi arrivée tardivement à Aix, en provenance de Rouen).

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Kiriakidès

Étape n°1 : m'endormir

J'ai fait indirectement connaissance avec ce procureur à l'occasion d'une communication d'un dossier pénal de plusieurs centaines de pages et au travers duquel il pensait que je ne remarquerais rien.

Dans son courrier, le point n°4 est celui qui en théorie devait me rassurer : je ne serai pas obligé de me rendre à la convocation que la policière Viciana avait émise à mon encontre en 2014 pour m'envoyer chez un psychiatre.

Vous ne serez pas contraint de vous présenter chez un expert psychiatre.

Je le savais déjà, j'avais saisi à l'époque le tribunal administratif puis le Conseil d'État pour faire annuler tout risque à mon encontre. C'était d'ailleurs la raison pour laquelle j'avais pu redescendre dans le Sud.

Mais toujours dans ce courrier, je m'aperçois avec le point précédent, le n°3, que le procureur se moque de moi.

La blague de Kiriakidès

Je rappelle ce qui s'était passé avec la policière Céline Viciana : elle me convoque dans son bureau, m'interroge et, tout en m'écoutant, tape mes réponses sur son ordinateur.

À la fin de l'interrogatoire, elle dit qu'elle va me laisser un exemplaire du procès verbal, que je relis, pour signer ensuite son exemplaire. Pendant les minutes de relecture, elle reprend son travail sur son ordinateur. En réalité, je n'en ai pris conscience qu'après, elle était en train de modifier défavorablement le second exemplaire du procès verbal, celui qu'elle allait garder (quant au mien, il n'avait pas eu de modification – c'est assez tordu comme opération de la part de la policière).

Quand j'ai fini la lecture, qui globalement convenait (j'aurais toujours pu chipoter, mais ce n'était pas le but ni l'endroit) elle a imprimé le second exemplaire. J'ai signé les 2 sans relire le second (puisque je conservais l'exemplaire qui me convenait, c'était lui qui faisait foi). Une fois qu'elle est en possession de « son » exemplaire signé, elle se ravise et reprend le premier exemplaire (le mien) entre mes mains et le déchire ! Dans l'heure qui suivait, j'ai écrit une lettre recommandée à cette policière pour dénoncer ses agissements.

Alors quand le procureur Kiriakidès me raconte son histoire de problème d'impression,  c'est qu'il se moque de moi…

 

Un contenu du dossier choquant : le « code 37 »

La seconde page du dossier envoyé par le procureur était tout aussi choquante. C'était une copie d'une décision du procureur-adjoint Olivier Poulet (ce procureur auprès duquel Kiriakidès vient voler au secours).

 

Classeùent abusif, double page

 

Ce classement n°37 n'est pas connu de nous tous, mais quasiment uniquement des procureurs. C'est un code officiel, qu'ils utilisent entre eux.

Il y a plusieurs raisons pour classer une plainte. Par exemple :

  • selon le procureur, il n'y aurait pas d'infraction (code 21)
  • ou alors l'enjeu de lancer toute une procédure ne vaut pas la peine (exemple : 2 euros ou une pomme ont été volés)
  • etc…
  • mais il y a un cas, pire : l'auteur de l'infraction (le coupable, pas la victime) est déclaré fou (irresponsable pénalement) après une expertise psychiatrique, code 37. C'est ce code qu'on m'a appliqué !

Ces 2 procureurs, Olivier Poulet et Achille Kiriakidès, sont clairement en train de me faire passer pour fou, en inventant après une expertise psychiatrique qui n'a jamais eu lieu !

Je rappelle l'enjeu d'un tel document pour eux : si un psychiatre m'a déclaré fou auparavant (ici, avec des faux documents), la prochaine fois ils peuvent m'interner directement, sans passer par toutes les expertises psychiatriques obligatoires. C'est leur objectif.

Ces deux procureurs participent à une tentative d'un internement arbitraire. C'est puni par une peine de 30 ans de réclusion. (Sauf qu'ils peuvent agir en toute impunité, parce que ce sont ces mêmes procureurs qui dirigent l'enquête, donc tout est faussé…)

 

Le détail des fausses attestations du psychiatre

À l'époque, en 2014, c'était le procureur-adjoint Olivier Poulet qui dirigeait les opérations à mon encontre. Ce sont ces mêmes faux documents dont va se servir le procureur Kiriakidès pour me déclarer atteint de troubles mentaux (et ne plus avoir besoin que je sois envoyé de force chez un psychiatre).

Les documents que m'envoie Kiriakidès sont nombreux, mais le plus évocateur est celui qui invente une procureure d'Aix, Marion Menot, alors que celle-ci est juge au même moment à Marseille.

extrait Viciana

 

Ma plainte auprès du procureur Kiriakidès, sans réponse

Lorsque je reçois tout ce paquet de procédures truquées, j'écris au procureur une lettre dans laquelle je lui demande confirmation des papiers qu'il m'aurait envoyés (dans l'hypothèse où une autre personne se soit faite passer pour lui). Il ne me répondra jamais. Il espérait que je me contenterais de voir que l'expertise psychiatrique n'était plus obligatoire. Le piège était là. Je n'y suis pas tombé et j'ai entrepris des démarches pour faire annuler ces documents.

Malheureusement deux juges vont persister à confirmer cette fausse expertise psychiatrique, et même inventer une hospitalisation d'office !

S'il vous plaît, vous qui lisez ces lignes, posez-vous des questions sur ces magistrats, sur ce qu'on appelle la « justice » en France : c'est quelque chose qui fonctionne en apparence pour 95, 98 ou 99 % des cas, juste pour entretenir un semblant de justice. Il faut se méfier, car dans de trop nombreuses occasions (ces 5, 2 ou 1% des fois où la justice est dévoyée), des criminels se cachent derrière leurs robes de juges ou de procureurs. S'il vous plaît, ouvrez les yeux.

 

Un procureur qui agit en sous-main pour la DACG

Pourquoi le procureur, non seulement, valide-t-il de tels faux documents, mais aussi, participe-t-il à la tentative de mon internement ?

Cet homme est nommé par le ministère de la Justice, dont il dépend. Contrairement aux juges du siège, qui sont inamovibles, les procureurs peuvent être mutés n'importe où en France. C'est simple pour lui : s'il a envie de conserver son poste à Aix, alors il doit obéir aux ordres de sa hiérarchie. (La prétendue indépendance des parquets, c'est comme l'existence du père Noël, ça ne concerne que ceux qui y croient.) Le procureur pourrait refuser de participer à ces magouilles, mais il suffit qu'il ait trempé, par le passé, une seule fois, pour qu'on le fasse chanter et qu'il se sente obligé de continuer. (C'est pareil, toujours dans mon dossier, avec la juge Marion Menot.)

En 2016, quand il arrive à Aix-en-Provence, ce procureur doit donc reprendre la tentative de mon enfermement en hôpital psychiatrique commencé quelques années plus tôt.

À noter qu'Achille Kiriakidès n'est pas le seul à se mettre à la tâche : en 2017, un juge parisien, Jean-Pierre Ladreyt ira lui aussi de son couplet, écrivant dans une ordonnance que j'aurais fait l'objet d'une expertise psychiatrique. Tous ces gens-là, juges, procureurs, obéissent de manière plus ou moins cachée aux ordres de la Chancellerie.

 

Étape n°2 : me faire à nouveau arrêter et m'envoyer en asile + prison

À cause d'une imbécilité au sein de ma famille (ma sœur a essayé de court-circuiter une donation de ma grand-mère), toute une série d'intervenants dans le milieu judiciaire vont se mettre en branle en 2019.

Un avocat contacte conjointement un notaire et le bâtonnier pour s'imposer comme la personne qui décide au nom de ma grand-mère (ces gens s'apprêtaient à lancer une tutelle frauduleuse à son encontre). Je soutiens ma grand-mère. Le bâtonnier Jean-Pierre Rayne intervient pour donner tort à ma grand-mère (elle ne faisait que dénoncer cet avocat qui n'était pas le sien).

En parallèle, le procureur Kiriakidès désigne une de ses subalternes, la substitut Sophie Bot, pour qu'à travers un contact avec la policière Céline Viciana, la même qui avait produit des faux documents à mon encontre, que celle-ci se mette 3 jours en ITT et porte plainte contre moi.

Une fois que le bâtonnier a donné tort à ma grand-mère (le 12 septembre 2019), reste pour la police dirigée par Sophie Bot de refermer le piège sur moi : le 17 septembre je suis placé en garde à vue, obligé à voir un psychiatre qui va à son tour produire de nouveaux faux documents pour m'envoyer cette fois dans les services des hospitalisations d'office à Martigues.

Je ne me tirerai temporairement d'affaire qu'en fuyant la France et en me réfugiant à l'étranger, d'où je peux publier les détails de ces effroyables magouilles. J'insiste : ce qui m'arrive n'est pas dirigé uniquement contre moi. Ce sont des pièges habituels dans lesquels tombent de trop nombreuses personnes. Je suis juste un peu plus chanceux de m'en être sorti jusqu'à présent.