9 – Fuite et réfugié à l'étranger

Je suis toujours en danger de mort dans cette affaire criminelle d'État.
J'offre une récompense de 100 000 euros à la personne ou aux personnes qui me permettront de m'en sortir.
Détails sur la prime sur : http://100k-aubert.fr

Par lionel, 20 juin, 2020

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En 2019, des policiers sont venus m'arrêter et me mettre en garde à vue, pour, qu'une fois prisonnier, ils me forcent à voir un psychiatre.

Lors de mon entretien, le psychiatre n'a rien pu retenir contre moi, comme il l'écrit dans son rapport. Alors, il dit s'être penché sur des dossiers présentés par une policière, Justine Vérani (mais que contenaient ces documents ? Très probablement c'étaient des faux, des allégations mensongères). Il trouve alors dans le dossier qui lui est tendu que je serais dangereux pour moi et pour les autres et que mon dossier doit être transmis à l'hôpital psychiatrique de Martigues. Il demande une injonction de soins. Les magistrats devant lesquels je suis conduit à l'issue de ma garde à vue, la substitut du procureur Sophie Bot qui a participé à fausser mon dossier (car je mettais en cause son supérieur hiérarchique Achille Kiriakidès) ainsi que le juge des prétendues libertés et de la détention vont participer à enfoncer le clou.

 

Ne pas aller chez un psychiatre

Quand on connaît mon histoire, dès 2014, avec ma porte défoncée devant des policiers en planque devant chez moi qui ne voyaient rien, on comprend que les policiers et les procureurs inventent des pièges pour m'envoyer chez un psychiatre. Si je commençais à mettre le pied dans leur engrenage, je serais cuit.

Cinq à six ans plus tard, ces mêmes personnes réitèrent. Il n'y a aucune raison que je suive les instructions médicales d'un juge qui n'est pas médecin. Je rappelle que le psychiatre a écrit qu'il ne m'avait rien trouvé suite à l'entretien qu'il a eu avec moi lors de ma garde à vue. Le reste de son rapport est basé sur des faux, et donc n'a pas de valeur.

Une semaine avant mon procès, des hommes se présentent chez moi. Je ne leur ouvre pas, je comprends le piège qu'ils me tendent : une jonction de dossiers a été faite avec l'hôpital psychiatrique de Martigues (cette fois suite à une dénonciation d'un membre de ma famille qui était en froid avec moi). Leur but est de venir me chercher pour m'interner, et que le jour de mon procès, je sois tellement shooté aux médicaments que je ne pourrais pas me défendre.

 

Ma fuite hors d'Europe

Trois heures après le passage de ces gens, je fuyais la France, direction l'Italie. De là, j'ai pris deux jours pour écrire une requête à la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), sur la base de ce qu'ils appellent « l'article 39 du règlement » et qui correspond à une sorte de référé. (Ma requête ne pourra pas être instruite, car pour bénéficier de ces dispositions, il faut risquer une peine de mort ou de tortures.)

Puis les jours suivants, je vais traverser l'Europe en bus : je ne peux pas rester dans l'Union européenne car tous les pays ont entre eux un accord d'extradition. Je n'ai de choix efficace qu'entre la Russie ou la Turquie (sinon, il y avait l'Ukraine et la Biélorussie ; en accès terrestre, c'était tout). Je me sens plus proche des Turcs, qui sont méditerranéens comme nous, que des Russes. Il me semble également que la Turquie a également un régime plus libre que celui de Poutine.

 

La suite après 2020

J'ai déposé une demande dans mon pays d'accueil dans les 2 mois qui ont suivi mon arrivée.

J'ai commencé, avec un peu plus de recul (en étant en meilleure sécurité, on arrive à mieux faire le point sur la situation) à hiérarchiser mon histoire et à la détailler sur ce présent site web.

Mais en parallèle, les voyous que je dénonce continuent de me maintenir la pression, sur moi ou sur ma famille. Ainsi, le 13 janvier 2021, alors que ça fait presqu'un mois que je vis en Turquie, un groupe de quatre hommes est venu faire un tapage devant mon domicile inhabité, tenté de trafiquer les serrures mais surtout demander aux voisins l'adresse de mes enfants (14 ans tout de même…). Il est inacceptable que ces individus viennent menacer mes enfants ainsi. Bien sûr que je n'ai pas la preuve de leurs paroles. Mais l'affaire du tapage + trafiquer mes serrures reste visible sur les enregistrements de vidéo-surveillance. J'en ai demandé au maire Bernardini la préservation.

 

Pour aller plus loin…

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