Vous êtes en train de regarder une page d'intérêt secondaire : avez-vous lu les pages listées en « niveau 1 », utiles pour la compréhension de l'affaire ? |
[remarque : article en cours de rédaction, incomplet]
Affaire d'État ou non ?
Ce que je subis, est-il dû à des personnes locales, influentes, et à leurs erreurs d'appréciation, ou y a-t-il ce qu'on pourrait appeler une affaire d'État ? Plus précisément, est-ce que je fais l'objet
- de dérives limitées, par certaines personnes influentes à mon encontre,
- ou alors je fais l'objet d'un traitement à plus haut niveau, décidé arbitrairement par certaines agences gouvernementales ou par certains groupes ou catégories judiciaires ?
État | local | |
Un parquet comporte en son sein des procureurs malhonnêtes | X | |
Un service ministériel coordonne des actions répressives contre certains individus | X | |
Certains juges trafiquent des jugements pour « aider » des copains. | X | |
Des sociétés privées sont approchées par des agents de l'État pour proposer contre une baisse de leur imposition un pouvoir de censure. | X | |
Des internements arbitraires sont pratiqués pour neutraliser certaines personnes. | X | X |
Un réseau local d'avocats, notaires, magistrats font main-basse sur des personnes âgées un peu fortunées. | X | |
Des juges de juridictions supérieures (Conseil d'État, Cour de cassation) ou d'institutions (CSM) protègent des magistrats qui couvrent un « système ». | X | X |
Des francs-maçons adhèrent pour s'entraider lors d'affaires sensibles où d'autres frères sont mis en cause. | X |
Une affaire d'État va concerner la mise en place de personnes et d'organisations non pas pour obtenir une fonction honorifique ou des gains d'argent substantiels mais pour occuper des postes stratégiques et entreprendre des actions dont le but est de saper les fondements de nos démocraties, de notre État.
Les affaires peuvent toutefois êtres mixtes, entre affaire d'État et dérives personnelles de certains intervenants.
Reprise
Au delà du déroulé de mon affaire, des personnes ou des groupes de personnes vont appuyer tout au long de celle-ci un système de magouilles, de harcèlement, en allant jusqu'à la tentative d'un crime qui consiste à faire interner arbitrairement une personne. Pour mémoire mon affaire a consisté en :
- un colonel se rate et demande l'étouffement d'une affaire
- des policiers, des procureurs, un inspecteur des services sociaux du département, une experte auprès du TGI, des psychiatres, des juges, vont me menacer, établir des faux documents pour tenter de me faire interner ou me m'envoyer en prison.
>> Si vous ne les avez pas encore lues, vous pouvez commencer par les explications de « premier niveau » (nécessaires à la compréhension de l'affaire avant de passer aux détails).
À ces gens-là, d'autres organisations ou groupes vont se rajouter pour me contraindre au silence ou m'étouffer (au sens figuré). Ces personnes ou ces groupes qui vont s'ajouter ne tirent aucun intérêt, aucun bénéfice de l'aide qu'ils vont fournir. Ce sont, par définition, des complices : des gens qui souhaitent voir une victime succomber. (La complicité fait courir à ceux qui y participent les mêmes peine que les auteurs principaux, c'est-à-dire un passage devant une cour d'assises pour ce qui relève d'un crime.)
Pour aller plus loin :
>> Les deux éléments qui en font une affaire gouvernementale